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Quand on veut se débarasser d'une image!

Le 04 septembre 2012

Les pantoufles en Phentex reviennent à la mode

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Les pantoufles en Phentex reviennent à la mode!

Photo: Ninon Pednault, La Presse

• 
  Lucie Lavigne
  La Presse

Qui a dit que les pantoufles tricotées par tante Gertrude étaient démodées? Erreur. Elles sont de retour, plus tendance que jamais.

Lors d'une visite de la jeune agence La Shed architecture, l'hiver dernier, surprise! on m'a présenté une boîte remplie de pantoufles multicolores. Imaginez le contraste entre les chaussons «rétro» et l'architecture très actuelle des lieux.
«C'est tellement authentique et réconfortant! Ça me rappelle mes partys de Noël. Ma mère sortait des pantoufles en Phentex lorsque les invités arrivaient, raconte Renée Mailhot, architecte associée à La Shed. Encore aujourd'hui, ces pantoufles font sourire mais n'empêche, elles sont pratiques et remplissent parfaitement leur fonction.»
Elle précise que les pantoufles mises à la disposition des clients ont été tricotées à la main par Francine Bigras, la mère d'une amie.

De son côté, Christian Bélanger, designer d'intérieur et cofondateur du magasin général Bélanger Martin (s), à Montréal, a fait appel à une artisane de Rivière-du-Loup afin d'offrir de telles pantoufles à sa clientèle férue de design.
«J'en avais une cinquantaine de paires (à 25$ chacune) et elles se sont vendues comme des petits pains chauds», atteste-t-il. Selon lui, le temps nécessaire à la réalisation d'un objet, son histoire et sa provenance (locale) sont des arguments de vente qui séduisent de plus en plus d'acheteurs.
«Autant nous avons levé le nez sur l'artisan pendant des années au Québec, autant le travail manuel est, aujourd'hui, valorisé», constate Christian Bélanger, qui doit regarnir ses tablettes de pantoufles...

La Julie Factrie

Une idée de sortie intéressante le 27 octobre prochain : http://lajuliefactrie.blogspot.ca/2012/10/porte-ouverte-27-octobre.html

Des carreaux et des mots

De gauche à droite, M. Michel Bronsard, conseiller, Mme Linda Sirois, ex-présidente du Cercle, Mme Ginette Léveillé présidente actuelle et M. Yves Lévesque, maire de Trois-Rivières

Trois-Rivières, le 9 octobre 2012 – Invitées par la Ville de Trois-Rivières, les membres du Cercle de fermières de Trois-Rivières ont assisté à la présentation officielle d’une courtepointe qu’elles ont confectionnée dans le cadre d’un projet collectif intitulé « Des carreaux et des mots ». L’oeuvre a été acquise par la Ville pour occuper un mur de la mairie.

"Quand un bout de tissu devient poème

Initié dans le cadre du 10ième

anniversaire du Cercle, le projet de courtepointe collective avait pour objectifs de mobiliser les membres autour d’un projet commun, de favoriser l’échange et le partage du savoir-faire et de développer la créativité.

Sur le thème de la chanson « Notre sentier » de Félix Leclerc, les équipes se sont laissé inspirer par les mots et la profondeur des sentiments dégagés par la toute première chanson de Félix. Il en résulte une oeuvre magistrale à la hauteur de ce grand poète de chez nous.

Trois-Rivières, ville d’histoire et de culture

À lui seul ce slogan est inspirant et incite à la créativité sous toutes ses formes. À sa manière, le Cercle est créatif et fait montre de dynamisme et de générosité par son implication au sein de la communauté. Le talent de ses membres profite au Centre jeunesse, par la création d’objets offerts aux enfants de la DPJ. Le Programme enfance 0-5 ans du CSSS de Trois-Rivières bénéficie de la confection de vêtements pour les enfants en situation de vulnérabilité et le Foyer du marin du Port de Trois-Rivières peut compter sur des tricots pour garder au chaud des matelots, en provenance de pays étrangers, trop souvent exploités.

Merci à la Ville de Trois-Rivières d’être elle-même une source d’inspiration par son soutien aux organismes en reconnaissant leur travail et leur valeur dans le développement de la communauté. Par l'acquisition de cette pièce unique, la Ville a regardé avec les yeux du coeur. Elle a reconnu tous les efforts, la persévérance et l’investissement humain mis dans chacun de ces carreaux. Dans cette courtepointe, il y a maintenant beaucoup plus que « Des carreaux et des mots ». Il y a aussi toute la fierté de ces femmes artisanes reconnues en tant qu’artistes et des bouts de tissus devenus poème et oeuvre d’art . . . un bout d’histoire."

Le Cercle de Fermières de Trois-Rivières

par:  Ginette Léveillé

Présidente

Réunion d'octobre 2012

Comme à l'accoutumée, près de 100 membres fermières assistaient à notre réunion mensuelle.  L'ambiance était légère et amicale. Notre Conseil a encore une fois trouvé le moyen d'alléger le protocole du déroulement de la réunion.  Un défi a même été lancé à chacune pour faire la preuve que chacune a la capacité de faire du pathwork...même sans machine à coudre.  Voyez les mines appliquées:



Ginette, la présidente donne l'exemple



Nous avons aussi pu visionner les photos prises par Ginette Lépine qui passe ses hivers en Floride où elle apprend des techniques d'artisanant qui nous sont moins familières: courges décorées et plats fabriqués avec des aiguilles de pins.


Ginette Lépine




Ginette nous présente ses amies de Floride

 Voici un exemple de l'artisanat :



Courges séchées et décorées

Panier fait d'aiguilles de pin



Et puis voici quelques exemples de l'habileté de nos membres:







Voici la dernière création de Francine DeSerres:  cette courtepointe a été réalisée avec des tissus provenant d'anciens sacs de sucre et de farine.  Il s'agit du modèle "Le chemin de l'ivrogne" et la technique est celle des sections.